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Non, il n’est pas nécessaire d’avoir ce diplôme pour pratiquer la dermopigmentation, qu’elle soit esthétique ou réparatrice.
En fait aucun diplôme n’est requis.
La seule formation qu’il est obligatoire de suivre est celle en Hygiène et Salubrité dispensée au sein d’organismes agréés, rendue obligatoire par le décret du 19 février 2008 pour la pratique de la dermopigmentation, le tatouage et le piercing, dont seuls les médecins et les titulaires du diplôme « Hygiène Hospitalière » sont dispensés.
Cette formation vise à enseigner les exigences réglementaires et le savoir-faire en matière d’hygiène en vue d’évincer les risques de contamination pour le praticien et sa clientèle.
Bien qu’aucune formation ne soit obligatoire, il est toutefois fortement recommandé de suivre au moins une formation d’initiation. On ne s’improvise par dermographe, et au-delà des techniques à proprement parler, il y a beaucoup de notions à acquérir avant de se lancer, telles que la colorimétrie, les notions de visagisme et de proportions, connaître les différents types de peaux, les différents pigments et comment ceux-ci peuvent évoluer en fonction des différents cas…Il est donc indispensable de s’adresser à un professionnel qui saura vous enseigner tous ces points essentiels à la bonne pratique du maquillage permanent et de la dermopigmentation.
La pigmentation des cicatrices est une bonne indication si les cicatrices sont claires c’est-à-dire que l’on pigmente une achromie (a- privatif grec ; donc littéralement une zone qui présente un manque de coloration).
De plus, avant de tatouer des zones achromiques, il faut valider que la cicatrice ne soit pas récente. On attend généralement 1 an environ avant d’effectuer une dermopigmentation, le temps que la cicatrice s’aplatisse et perde sa couleur rosée.
Il faut noter également que si la différence de pigmentation entre votre peau et la cicatrice claire est marquée, les résultats n’en seront que meilleurs car il sera plus aisé au fur à mesure des séances de rajouter de la couleur pour arriver au résultat attendu. En effet, si la différence de couleur entre la cicatrice et la peau est faible, le risque est de surpigmenter la zone et de mettre en évidence encore plus la cicatrice devenue foncée. Cela est d’autant plus problématique que les personnes qui envisagent une dermopigmentation médicale sur des cicatrices portent un vrai complexe qu’ils souhaitent corriger et c’est très souvent dans une zone visible (visage, cou et décolleté ou avant-bras), donc le droit à l’erreur n’est pas permis !
La pigmentation des cicatrices foncées est une mauvaise indication car les résultats ne sont pas très satisfaisants. On peut cependant envisager de les pigmenter avec la plus grande prudence et en maîtrisant bien les règles de la colorimétrie.
Le vrai rouge sont le cinabre (naturel) et le vermillon (synthétique) de formule HgS (sulfure de mercure), utilisés par les tatoueurs et strictement interdits en France (cancérigène, photo sensibilisant, allergie chronique). Les autres vrais rouges (organiques), ne tiennent pas dans la peau.
C’est possible et raisonnable, mais il faut utiliser des couleurs couvrantes. Le travail en transparence n’est guère possible, mais, on peut obtenir de jolis roses ou beiges, convenant parfaitement en maquillage permanent ou simplement éclaircir ton sur ton la couleur naturelle.
Le principe de la dermopigmentation est simple. Il s’agit d’introduire un pigment dans le derme à l’aide d’un appareil électrique appelé « dermographe ». Spécialement conçu pour cette pratique cet appareil est muni d'un stylet (pièce à main) montée d’une aiguille stérile à usage unique, fabriquée en acier chirurgical.
L’introduction du pigment va modifier la couleur d’une zone de peau définie dans un but soit réparateur, soit purement esthétique.
On parle de produit bio à partir d’un certain pourcentage d’ingrédients d’origine biologique présent dans la formule.
Le label BIO est la reconnaissance donnée via un organisme certificateur. Attention, chaque label possède sa propre charte d’engagements.
Oui, il est possible de le mentionner à l’écrit uniquement si vous parlez d’un ingrédient bio.
En revanche vous ne pouvez pas l’écrire pour un produit fini sauf s’il est composé à 100% d’ingrédient issu de l’agriculture biologique.
Si vous voulez apposer le logo BIO sur votre produit, il est obligatoire de le faire certifier.
Une allégation est un argument marketing, vérifié, qui peut être apposé sur l’étiquette du produit. Elle doit obligatoirement être prouvée par un test d’usage.
Par exemple, pour notre gamme anti-âge, nous avons fait réaliser des tests sur un panel de testeurs. Lors des retours, le terme « anti-âge » est revenu suffisamment pour qu’il puisse être considéré comme une allégation prouvée.
Non, il n’est pas nécessaire d’avoir ce diplôme pour pratiquer la dermopigmentation, qu’elle soit esthétique ou réparatrice.
En fait aucun diplôme n’est requis.
La seule formation qu’il est obligatoire de suivre est celle en Hygiène et Salubrité dispensée au sein d’organismes agréés, rendue obligatoire par le décret du 19 février 2008 pour la pratique de la dermopigmentation, le tatouage et le piercing, dont seuls les médecins et les titulaires du diplôme « Hygiène Hospitalière » sont dispensés.
Cette formation vise à enseigner les exigences réglementaires et le savoir-faire en matière d’hygiène en vue d’évincer les risques de contamination pour le praticien et sa clientèle.
Bien qu’aucune formation ne soit obligatoire, il est toutefois fortement recommandé de suivre au moins une formation d’initiation. On ne s’improvise par dermographe, et au-delà des techniques à proprement parler, il y a beaucoup de notions à acquérir avant de se lancer, telles que la colorimétrie, les notions de visagisme et de proportions, connaître les différents types de peaux, les différents pigments et comment ceux-ci peuvent évoluer en fonction des différents cas…Il est donc indispensable de s’adresser à un professionnel qui saura vous enseigner tous ces points essentiels à la bonne pratique du maquillage permanent et de la dermopigmentation.
La pigmentation des cicatrices est une bonne indication si les cicatrices sont claires c’est-à-dire que l’on pigmente une achromie (a- privatif grec ; donc littéralement une zone qui présente un manque de coloration).
De plus, avant de tatouer des zones achromiques, il faut valider que la cicatrice ne soit pas récente. On attend généralement 1 an environ avant d’effectuer une dermopigmentation, le temps que la cicatrice s’aplatisse et perde sa couleur rosée.
Il faut noter également que si la différence de pigmentation entre votre peau et la cicatrice claire est marquée, les résultats n’en seront que meilleurs car il sera plus aisé au fur à mesure des séances de rajouter de la couleur pour arriver au résultat attendu. En effet, si la différence de couleur entre la cicatrice et la peau est faible, le risque est de surpigmenter la zone et de mettre en évidence encore plus la cicatrice devenue foncée. Cela est d’autant plus problématique que les personnes qui envisagent une dermopigmentation médicale sur des cicatrices portent un vrai complexe qu’ils souhaitent corriger et c’est très souvent dans une zone visible (visage, cou et décolleté ou avant-bras), donc le droit à l’erreur n’est pas permis !
La pigmentation des cicatrices foncées est une mauvaise indication car les résultats ne sont pas très satisfaisants. On peut cependant envisager de les pigmenter avec la plus grande prudence et en maîtrisant bien les règles de la colorimétrie.
Le vrai rouge sont le cinabre (naturel) et le vermillon (synthétique) de formule HgS (sulfure de mercure), utilisés par les tatoueurs et strictement interdits en France (cancérigène, photo sensibilisant, allergie chronique). Les autres vrais rouges (organiques), ne tiennent pas dans la peau.
Découvrir nos pigments rouges
C’est possible et raisonnable, mais il faut utiliser des couleurs couvrantes. Le travail en transparence n’est guère possible, mais, on peut obtenir de jolis roses ou beiges, convenant parfaitement en maquillage permanent ou simplement éclaircir ton sur ton la couleur naturelle.
On parle de produit bio à partir d’un certain pourcentage d’ingrédients d’origine biologique présent dans la formule.
Le label BIO est la reconnaissance donnée via un organisme certificateur. Attention, chaque label possède sa propre charte d’engagements.
Oui, il est possible de le mentionner à l’écrit uniquement si vous parlez d’un ingrédient bio.
En revanche vous ne pouvez pas l’écrire pour un produit fini sauf s’il est composé à 100% d’ingrédient issu de l’agriculture biologique.
Si vous voulez apposer le logo BIO sur votre produit, il est obligatoire de le faire certifier.
Une allégation est un argument marketing, vérifié, qui peut être apposé sur l’étiquette du produit. Elle doit obligatoirement être prouvée par un test d’usage.
Par exemple, pour notre gamme anti-âge, nous avons fait réaliser des tests sur un panel de testeurs. Lors des retours, le terme « anti-âge » est revenu suffisamment pour qu’il puisse être considéré comme une allégation prouvée.
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